Elles sont trĂšs nombreuses dans nos Ă©glises. Elles sont la reprĂ©sentation des figures religieuses : Christ, Vierge, Saints. En bois, en pierre, parfois polychromes Ă l’origine et badigeonnĂ©es, elles ne doivent ĂȘtre nettoyĂ©es qu’avec prĂ©caution. Les petites statues, statuettes de retable et de bĂątons de confrĂ©rie, particuliĂšrement en danger de vol, doivent ĂȘtre scellĂ©es ou fixĂ©es.
En bois, garnissant et parfois fermant le choeur, les plus anciennes dans l’Eure datent du XIVe siĂšcle. Les siĂšges sont le plus souvent Ă abattant sous lequel se trouve une misĂ©ricorde. La misĂ©ricorde peut-ĂȘtre sculptĂ©e, ainsi que les accoudoirs. Elles sont rĂ©servĂ©es au clergĂ©.
Cercueil de pierre. Du grec sarkophagos (qui mange, détruit les chairs). Dans les croyances antiques la pierre des tombeaux détruisait les cadavres non incinérés.
Partie de l’Ă©glise oĂč se dĂ©roulent les cĂ©rĂ©monies liturgiques autour de l’autel. Ne pas confondre avec le chĆur ordinairement meublĂ© de stalles destinĂ© au clergĂ© et au chantres.
Salle oĂč se rĂ©unit un chapitre, c’est-Ă -dire l’ensemble des moines ou des chanoines.